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Même si l’oïdium a été moins présent dans les vignes en 2022, 97% des hectares restent concernés par cette problématique.
Dès la reprise de végétation au printemps, puis durant toute la saison, lorsque les conditions sont favorables, de nombreux cycles de contamination-infection se succèdent dans la vigne.
Tous les organes herbacés de la plante sont sensibles aux contaminations par l’oïdium. Si la maladie n’est pas prise en compte dès les premiers stades, elle peut rapidement devenir explosive et être préjudiciable pour la vendange.
ARMICARB® permet un démarrage précoce de la lutte contre la maladie avec un effet STOP démontré.
découvrez ARMICARB® en 1 minute !
Stoppez les contaminations avant de percevoir les symptômes
Entre le début d’une contamination à l’oïdium et l’apparition de symptômes visibles, il peut s’écouler jusqu’à 3 semaines. Cette maladie cryptogamique se développe à la surface des organes verts de la vigne. Lorsque on le détecte, il est déjà installé.
Avec ARMICARB®
- Vous stoppez les contaminations non visibles grâce à son effet asséchant,
- Vous prévenez tout nouvelle contamination en neutralisant les enzymes produites par le champignon pour infecter la plante.
Capitalisez sur son effet préventif et stoppant durant toute la saison
Utilisez ARMICARB® en association avec du soufre :
- Pour nettoyer l’oïdium en début de cycle au T0 et/ ou T1 et/ ou T2 : dans le cas des parcelles à historique oïdium ou parcelles sensibles suite à une année de forte pression.
- Pour gérer les contaminations en cours et à venir sur la fin de la saison dès fermeture de grappe
En vigne, il est autorisé jusqu’à 8 applications par hectare et par an. En outre, grâce à son action multisite, il n’a aucune résistance connue à ce jour.
Johanna SIGEL, Chef Marché Vigne DE SANGOSSE précise également que, “3 kgs d’ARMICARB® + 2 à 6 kg de soufre positionné en pré ou post floraison permettent de contrôler l’oïdium tout en diminuant les doses de soufre”. C’est un atout supplémentaire à mettre à l’actif de cette solution fongicide biocontrôle.
Misez sur LA référence biocontrôle à effet stop sur oïdium
Nous avons mené un essai sur cépage Carignan dans le Gard. Il en est ressorti, qu’ARMICARB® est la seule solution de biocontrôle qui présente un niveau d’efficacité équivalent au produit conventionnel dans un positionnement curatif.
Essai oïdium curatif 2022 (département Gard)
- Protocole :
- T1 I T2 : 2 applications de soufre 4200 g/ha
- T3 I T4 I T5 : 3 applications de différentes solutions anti oïdium
Choisissez l’efficacité et la rentabilité
Grâce à la préservation de la qualité des raisins et des vins, ARMICARB® est un investissement efficace et rentable pour le viticulteur.
Une formulation au service de la performance
Et des utilisateurs satisfaits
Thomas Rieflé, vigneron dans le Haut Rhin : “Avec l’ARMICARB®, l’oïdium a été arrêté sans brûlures”.
André Serex, vigneron en Suisse : “Je suis assez satisfait de l’ARMICARB® pour réduire les doses de soufre”.
Listé biocontrôle et utilisable en agriculture biologique, ARMICARB® , contribue à la baisse de l’IFT conventionnel des programmes fongicides. Son absence de Limite Maximale de Résidus et de classement tox/écotox lui permettent de répondre à toutes les exigences de production.
Grâce à son EFFET STOP OÏDIUM, c’est le partenaire idéal de vos stratégies de lutte tout au long de la saison.
ARMICARB® – AMM n° 2110059 – 850 g /kg de bicarbonate de potassium – ®Marque déposée de Church & Dwight, Détenteur de l’AMM : DE SANGOSSE
P260 : Ne pas respirer les poussières. P262 : Eviter tout contact avec les yeux, la peau ou les vêtements. P280 : Porter des gants de protection et des vêtements de protection. P501 : Eliminer le contenu/récipient conformément aux réglementations locales/ nationales. SP1 : Ne pas polluer l’eau avec le produit ou son emballage. Ne pas nettoyer le matériel d’application près des eaux de surface. Eviter la contamination via les systèmes d’évacuation des eaux à partir des cours de ferme ou des routes. SPe3 : Pour protéger les organismes aquatiques, respecter une zone non traitée de 5 mètres par rapport aux points d’eau. SPe3 : Pour protéger les arthropodes non cibles, respecter une zone non traitée de 5 mètres par rapport à la zone non cultivée adjacente,
EUH401 : Respecter les instructions d’utilisation pour éviter les risques pour la santé humaine et l’environnement
